Presse
CD Koechlin
Réelles qualités, bonne mise en place, sensibilité, sobriété de certaines inflexions..
Francis Duroy, violoniste de renommée internationale était présent lundi dans l’impressionnante Grande Chambre de la cour d’Appel de Nancy. Pour un récital exceptionnel… Pas étonnant donc que cette salle ait fait ce soir là le plein d’un public conquis.
Un duo qui frôle la perfection...Vivacité et mélodie
Une pianiste (Carine Zarifian) remarquable et un violoniste (Francis Duroy) qui a pu laisser éclater toute sa virtuosité…
Une sensibilité jusqu’au bout des doigts aussi bien chez le violoniste que chez la pianiste. Un jeu remarquable individuellement, une excellente cohésion de l’ensemble… Un régal. A écouter et à voir.
Un duo complice
Le concert d’hier à Kerdevot était une grande première. Le violoniste Francis Duroy et le violoncelliste Henri Demarquette ne s’étaient jamais rencontrés. L’initiative les a visiblement ravis.
L’intimité de l’église gothique Notre-Dame de Kerdévot à Ergué-Gabéric, malgré les contraintes d’une acoustique trop réverbérée, convient à l’exécution de deux œuvres rares pour violon et violoncelle (le Duo de Zoltan Kodály et la Sonate de Maurice Ravel) par les archets de Francis Duroy et d’Henri Demarquette. Interprétation engagée et rhapsodique à souhait pour la pièce du Hongrois, enflammée et rigoureuse pour celle de l’auteur du Boléro ; un exercice de style un peu austère mais parfaitement assumé par des solistes de haut vol. Ces instants rares de musique sont partagés par un public attentif, presque frustré par une heure de musique si aboutie qu’une Fantaisie de Lassus et la reprise en bis du Très vif médian de la Sonate de Ravel achève de le rassasier.
Michel le Naour
CD Koechlin
Piano Magazine
Musicos Tonos - Grèce
Dans la sonate pour violon et piano opus 64 de Charles Koechlin, Francis Duroy et Thierry Rosbach interprètent avec soin et sensibilité la polyphonie et les larges mélodies…dans la première partie, ils créent un conte de fée séduisant dans une ambiance où les sons sont contrastés avec pertinence.
“Un public recueilli pour un duo exceptionnel”
Les sons de deux instruments à cordes ont empli les oreilles des spectateurs des Semaines musicales, ce jeudi à Ergué-Gabéric.
Henri Demarquette au violoncelle et Francis Duroy au violon avaient choisi un programme peu commun, ce qui explique peut-être un public un peu réduit, mais de grande qualité.
La sonate du compositeur hongrois Zoltan Kodaly invite au voyage et à l’introspection. L’attaque au violoncelle dans le premier mouvement donne à cet instrument toute sa puissance, accompagnée par la pureté du violon. Tout le long du concert, le silence exceptionnel et la qualité d’écoute de l’auditoire ne se sont pas relâchés.
Dans la sonate de Ravel, qui suivait cette incursion dans l’Est de l’Europe, on retrouve le talent des deux artistes, offrant un thème sinueux dans le premier mouvement, des pizzicati et des dialogues, des octaves et des unissons parfaits dans le reste de l’oeuvre.
Le courrier français Touraine
Remiremont Vallées
Si les deux artistes réussirent à traduire remarquablement les sentiments intimes qui habitaient les compositeurs joués ce soir, il n’en demeurait pas moins que c’était bien la passion qui menait la danse. Sonatensatz de Brahms, sonate en la mineur de Schumann, sonate en ré mineur de Saint-Saëns, danse espagnole de Granados, Cantabile de Paganini … électrisèrent un public qui ne savait s’il devait s’en tenir aux notes où si leurs yeux devaient être mis à contribution pour s’imprégner de la musique des maîtres.
Car Francis Duroy ne faisait plus qu’un avec son instrument, peut-être même que c’était le violon lui même et son archet virevoltant, devenu incontrôlable semblait-il, qui imposait à l’artiste ce jeu passionné, voire endiablé.
Pédagogue et ruisselant, Francis Duroy profitait d’une « accalmie » pour conter mille et une anecdotes relatives à l’œuvre qu’il s’apprêtait à interpréter et tout en humour pour la plus grande joie d’un public conquis qui apprécia la simplicité et le talent des deux grands artistes, habitués des grandes scènes internationales.
De Kreisler à Sarasate, de rappel en rappel, il fallut bien conclure et c’est sous une salve nourrie d’applaudissements qu’il fallut stopper, que prit fin cette soirée placée sous le signe de la virtuosité, autour d’un verre de l’amitié partagé et bienfaisant.
CD Koechlin
Les musiciens de ce disque (Jean-Pierre Sabouret et Francis Duroy violons – Stéphane Marcel, alto Philippe Bary, violoncelle – Thierry Rosbach, piano) apportent aux deux œuvres un indéniable savoir faire et une réelle sensibilité musicale.
atravesdelacultura - Espagne
Le magnifique concerto de violon de Mendelssohn est un chef-d’œuvre…
Le soliste Francis Duroy impressionnant. Le son pur et retentissant.